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La journée nationale de la qualité de l’air (JNQA), le 14 octobre dernier, a été l’occasion de communiquer un certain nombre d’informations pour donner à tous l’envie d’AGIR pour la qualité de l’air.

Chez Antibactéries nous proposons un accompagnement pour aider les entreprises à améliorer la qualité de leur air intérieur. C’est donc tout naturellement que nous nous intéressons à toutes les initiatives pour sensibiliser les populations aux impacts sur la santé de la dégradation de l’air.

La qualité de l’air est le troisième sujet de préoccupation environnementale des Français et l’on recense 40 000 décès prématurés par an causés par la pollution de l’air aux particules fines.

Les effets sur la santé sont donc avérés et le coût économique élevé si l’on en croit les 100 milliards d’euros par an, dont environ 19 milliards attribués à la dégradation de la qualité de l’air intérieur.

Pour le Ministère de la Transition Ecologique, la pollution de l’air se traduit par une modification de la composition de l’air par des polluants nuisibles à la santé et à l’environnement.

Chaque jour un être humain a besoin de 15 000 litres d’air pour vivre et la dégradation de la qualité de l’air est un vrai sujet en extérieur, mais également en intérieur où l’on estime que l’air est 5 à 8 fois plus pollué.

Les polluants atmosphériques sont les oxydes d’azote (Nox) émis lors de la combustion (moteurs thermiques des voitures, chauffage, production d’électricité), les particules PM10 et PM2,5 (chauffage biomasse, industrie manufacturière, combustions diverses) et l’ozone (produit sous l’effet du rayonnement solaire par des réactions complexes entre certains polluants primaires que sont le CO, les COV et les Nox.

La météorologie est un facteur clé de la qualité de l’air : le vent qui disperse les polluants, la pluie qui transfère les polluants dans les sols, la température qui agit sur la formation des polluants ainsi que le soleil.

Les polluants ont des sources d’émission variées en fonction de la période de l’année et des activités : feux de forêts, pollens, chantiers, agriculture, chauffage domestique, brûlage des déchets verts…

Les effets de la pollution sur notre santé peuvent être immédiats mais aussi à long terme lorsqu’ils pénètrent profondément dans notre système respiratoire.

La pollution extérieure est un facteur à prendre en compte pour la qualité de l’air intérieur puisqu’elle peut pénétrer dans les bâtiments par l’aération mais aussi la ventilation.

La surveillance de la qualité de l’air intérieur via des capteurs QAI connectés est un premier pas pour agir sur la pollution. La collecte et l’analyse des données sur les taux de concentration en polluants et les paramètres de confort, permettent de déterminer quelles solutions de traitement de l’air par filtration sont les plus efficaces.

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