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Le sujet de la Qualité de l’air Intérieur (QAI)

Il est reconnu qu’une mauvaise atmosphère est néfaste sur l’humain et les bâtiments, pour la santé et la productivité des humains, pour la valeur locative des bâtiments.

La préoccupation prévalente de l’environnement et de la performance énergétique a sapé le poste de la QAI.

La QAI n’est pas un sujet nouveau puisque l’observatoire de la qualité de l’air intérieur (OQAI) a été créé en 2001.

De grands propriétaires bailleurs de bureaux comme les compagnies d’assurance ont réalisé leurs propres études sur le sujet conscients qu’un environnement de travail dans lequel nous passons 7 à 8 heures par jour est forcément concerné.

Les systèmes de ventilation, chauffage et climatisation, sont sous ou mal dimensionnés, la filtration peu performante, l’entretien pas assez régulier ce qui contribue à faire proliférer les moisissures, champignons et bactéries.

Les trois piliers de l’impact d’une mauvaise QAI

En France, on estime à 40 000 le nombre de morts prématurées dues à une mauvaise QAI par an et à 19 milliards le coût des décès prématurés, soins et prises en charge).

L’environnement intérieur est également influent sur les performances des travailleurs : une étude réalisée à Harvard démontre qu’un air sain contribue à améliorer les performances cognitives.

La valeur des biens immobiliers est également concernée par la qualité de l’air intérieur avec une plus- value lorsqu’elle est maitrisée et surtout certifiée.

Mais jusqu’à présent la QAI fait figure de parent pauvre du secteur du bâtiment notamment en raison des investissements à visée environnementale qui se sont concentrés sur la performance énergétique (HQE/BBC).

Ainsi pour réduire les consommations énergétiques, les bâtiments modernes sont devenus de plus en plus étanches. L’entrée en vigueur de la RT-2012 a obligé les acteurs de la CVC à retravailler leurs produits pour faire baisser les consommations.

Les systèmes de filtration et ventilation insuffisants ont donc contribué à dégrader encore plus la QAI. Améliorer et optimiser la ventilation au niveau de la CTA (centrale de traitement de l’air) serait très coûteux !

Il est cependant possible d’agir sur la qualité de l’air intérieur en ajoutant des unités de traitement d’air appelés « purificateurs » ou « épurateurs ».

Désormais connectés, ceux de la gamme Fellowes Array distribués par Antibactéries permettent de surveiller la QAI en continu et d’être ainsi pro-actifs sur les systèmes de ventilation, chauffage et climatisation.

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