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Comprendre où en est la recherche

La composition de l’air ambiant change au fil des évolutions technologiques avec l’émergence de nouveaux polluants, peu ou pas pris en compte jusqu’à présent. Les cahiers de la recherche Santé, Environnement et Travail s’intéressent aux mécanismes d’action par lesquels les polluants atmosphériques affectent notre santé.

Parmi les interrogations les plus fréquentes, on note celle de l’exposition à faibles doses à des produits ménagers, solvants ou peintures, une exposition quotidienne difficile à évaluer.

De nombreux polluants néfastes sont présents dans nos logements : des polluants qui peuvent être néfastes pour notre santé : de la simple irritation ou gêne à des pathologies respiratoires.

On compte chaque année en France environ 20000 décès prématurés associés à l’exposition à plusieurs polluants de l’air intérieur. Cette pollution méconnue est difficile à appréhender et cette complexité incite les équipes de recherche à utiliser des stratégies originales.

Le récent rapport du conseil scientifique de l’Anses préconise des approches globales du type exposome (cumul des expositions à des facteurs environnementaux que subit l’organisme de sa conception à sa fin de vie en passant par le développement in utéro) ou d’autres outils intégratifs.

L’évolution des connaissances s’avère d’autant plus essentielle que l’on sait désormais que la pollution de l’air affecte non seulement la santé respiratoire mais aussi cardiovasculaire et neurologique.

Il est temps de garantir à chacun un air qui ne nuise pas à la santé car la respiration est le fondement même de notre santé. La respiration ou ventilation pulmonaire s’effectue en deux temps : l’absorption de l’oxygène et l’élimination des déchets gazeux. L’air que nous inspirons se compose majoritairement d’azote (78%), d’oxygène (21%), vapeur d’eau et/ou gaz rares pour le reste. Il comprend également des polluants primaires (issus directement d’une source) ou secondaires (provenant de réactions chimiques des émissions).

Une dizaine de polluants est actuellement réglementée dans le cadre de la surveillance de la qualité de l’air avec des objectifs en termes de concentration. De même, en ce qui concerne la pollution de l’air intérieur, la multiplicité des sources d’émission et de composition des atmosphères intérieures expliquent les difficultés actuelles pour évaluer l’effet de ces mélanges sur notre santé.

En milieu professionnel, le renforcement de la règlementation oblige les entreprises à mettre en place des mesures de prévention adaptées pour protéger la santé des travailleurs.

La complexité de la mise en place de solutions visant à protéger les travailleurs réside notamment dans la nécessité de quantifier de façon objective le gain apporté par de telles solutions.

La surveillance en continu de la qualité de l’air via des capteurs connectés est la solution qui permet d’avoir des données en temps réel et conservées afin de réfléchir aux plans d’action à mettre en place dans un second temps.

La nouvelle gamme de purificateurs Antibactéries de chez Fellowes permet de suivre et de traiter la qualité de l’air en même temps.

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