L’air est essentiel à la vie, c’est une ressource vitale comme l’eau que nous buvons et bien plus encore puisque nous respirons en moyenne 15 000 litres d’air chaque jour.
La qualité de l’air que nous respirons peut impacter notre santé comme la qualité de l’eau que nous buvons. Et s’il ne nous viendrait pas à l’esprit de boire une eau trouble et contenant des polluants, peu d’entre nous se posent la question de la qualité de l’air de nos environnements clos que nous inhalons à longueur de journée. Les maux liés à la qualité de l’air comme les allergies, l’asthme et les maladies respiratoires sont de plus en plus nombreux et sont étroitement liés à la dégradation de la QAI.
La qualité de l’air
Le sujet de la qualité de l’air intérieur (QAI) connait une forte accélération depuis 2020 notamment grâce aux leçons tirées de la pandémie concernant la transmission aéroportée des virus.
Les professionnels et les collectivités concernés par les accords de Grenelle II cherchent à mettre en œuvre des plans d’assainissement de l’air dans les lieux à fréquentation publique.
Si les taux de concentration en dioxyde de carbone (CO2) sont un bon moyen de sensibiliser le public sur le confinement d’un environnement clos, l’indice de confinement ne permet pas de déterminer les concentrations en polluants d’autres natures comme les particules fines, les Composés Organiques Volatils (COV) ou bio contaminants comme les poussières, pollens, allergènes…
Les capteurs connectés professionnels sont les seules solutions pour déterminer si la qualité de l’air d’un espace intérieur est bonne ou dégradée en dehors des audits QAI réalisés par des laboratoires pour répondre à des obligations légales ou lorsqu’une pollution nocive est suspectée.
La qualité de l’air ne peut s’observer : l’air est invisible et seules les odeurs caractéristiques de certains polluants peuvent être un signe tangible. Ce sont surtout les signes d’inconfort qui peuvent alerter sur une qualité dégradée : mots de tête, fatigue, baisse de l’attention ou des signes allergiques (nez qui coule, yeux qui piquent).
Pourquoi assainir un espace intérieur ?
Certaines personnes sont plus sensibles que d’autres à la qualité de l’air inhalée : soit parce qu’elles sont allergiques, parce qu’elles ont des maladies respiratoires … pour les autres les signes sont très discrets voire inexistants et pourtant une mauvaise QAI est la troisième cause de décès évitable après le tabac et l’alcool.
Assainir l’air qu’on respire n’est pas qu’une préoccupation des pouvoirs publics eut égards à son coût : c’est un enjeu de santé pour tous.
Une bonne qualité d’air intérieur est nécessaire pour préserver une bonne santé et d’autant plus que nous passons près de 80% de notre temps en intérieur.
Devenez acteur de la qualité de votre air intérieur : surveillez les taux de pollution et mettez en place le traitement adapté. Veillez à ne pas oublier que la purification de l’air n’a pas vocation à remplacer ni l’aération, ni la ventilation.
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